Vous pouvez signaler tout événement indésirable soupçonné associé à l’usage des produits de santé auprès de Santé Canada :
en visitant la page Web « Déclaration des effets indésirables ou des incidents liés aux matériels médicaux » (https://www.canada.ca/fr/sante-canada/services/medicaments-produits-sante/medeffet-canada/declaration-effets-indesirables.html) pour obtenir des informations sur la façon de signaler un incident en ligne, par courrier ou par télécopieur; ou
Les professionnels de la santé qui requièrent de l’information concernant les commandes devraient communiquer avec leur Responsable de compte client ou appeler le Service à la clientèle de Valneva.
Myth: Temporal and spatial distribution of JE can be predicted
Annual incidence JE is unpredictable. The number of cases may fluctuate from year to year, from season to season and from region to region.2,9
Predicted environmental suitability for Culex mosquitoes within areas at risk of JE transmission14
Adapted from Longbottom J, et al.( 2017).14
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Myth: Risk for JEV transmission only exists in rural areas
Besides rural areas, circulation of JEV has been demonstrated in mosquitoes within several cities in Southeast Asia.15,16
Visitors to areas where JE is endemic, or epidemic are at higher risk of being infected with JE compared to the local population.1
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Myth: JE only occurs in travellers staying 30 days or more in endemic countries
Symptomatic JE has occurred in travellers visiting areas for a duration of travel shorter than 1 month.3
Adapted from Hills et al.3
From 1973 to 2008, 35% of symptomatic JE cases occurred in stays <1 month (n = 55)†
† Results from a retrospective study assessing 55 published JE cases in travellers from non-endemic areas who had visited or lived in an Asian or Western Pacific country with JEV transmission from 1973-2008.3
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Myth: Travellers are only bitten during the rainy season
Two epidemiologic patterns of JE occur:9
In temperate areas, JE can be transmitted sporadically with periodic seasonal epidemics (May–October)
In subtropical areas, JE is endemic, and transmission can occur throughout the year
Transmission may occur year-round9
Environmental factors can also play a key role in mosquito-borne transmission. This is especially due to climate change, which tends to influence the mosquito density.15
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Seasonality by country
Country
Affected areas
Transmission season
Australia
Outer Torres Strait Islands, Tiwi Islands, and some areas of mainland (parts of New South Wales, Victoria, Queensland, South Australia, and Northern Territory)
Peak season May–November, especially in northern India; the season may be extended or year-round in some areas, especially in southern India
Indonesia
Widespread
Year-round, with peak season varying by island
Japan
All islands
June–October
Lao People’s Democratic Republic
Widespread
Year-round with peak season June–September
Malaysia
Widespread
Year-round, with peak season in Sarawak from October–December
Nepal
Southern lowlands (Terai), some hill and mountain districts (the hilly Kathmandu Valley)
Peak season June–October
North Korea
Presumed widespread
Unknown
Proximity to South Korea suggests peak transmission May–November
Pakistan
Unknown
Unknown
Papua New Guinea
Widespread
Presumed year-round
Philippines
Widespread
Year-round with peak season April–August
Russia
Primorsky Krai
June–September
Singapore
Presumed in focal areas
Year-round
South Korea
Widespread
May–November
Sri Lanka
Widespread except in mountainous areas
Year-round with peak season November–February
Taiwan
Widespread
Peak season May–October
Thailand
Widespread
Year-round with peak season May–October, especially in northern Thailand
Highest rates of disease reported from Chiang Mai Valley
Several traveller cases reported in recent years from resort and coastal areas of southern Thailand
Timor-Leste
Presumed widespread
No data
Proximity to West Timor suggests year-round
Vietnam
Widespread
Year-round with peak season May–October, especially in northern Vietnam
† Destination and transmission season information should be considered in association with travel duration and activities when making decisions on vaccination.13
‡ Data are based on published and unpublished reports. Risk assessments should be performed cautiously, because risk can vary within areas and from year to year, and surveillance data regarding human cases and JEV transmission are often incomplete. In some endemic areas, human cases among residents are limited because of vaccination or natural immunity among older people. However, because JEV is maintained in an enzootic cycle between animals and mosquitoes, susceptible visitors to these areas still may be at risk for infection.13
§ Outbreaks previously occurred in the Western Pacific Islands of Guam (1947–1948) and Saipan (1990), but as they are no longer considered risk areas, they are not included in the table.13
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Caractère saisonnier de l’encéphalite japonaise en fonction du pays
Pays
Régions touchées
Saison de transmission
Australie
Îles du détroit de Torrès, îles Tiwi et certaines régions continentales (parties de la Nouvelle-Galles du Sud, de Victoria, du Queensland, de l’Australie-Méridionale et du Territoire du Nord)
Novembre à mai
Bangladesh
Transmission généralisée
À l’année, mais la majorité des cas sont signalés entre juillet et novembre
Bhoutan
Transmission présumée dans les régions non montagneuses
Aucune donnée
Birmanie (Myanmar)
Transmission généralisée
À l’année; majorité des cas signalés entre mai et septembre
Brunei Darussalam
Transmission généralisée présumée
Aucune donnée
Cambodge
Transmission généralisée
À l’année; saison de pointe de mai à octobre
Chine
Dans toutes les provinces sauf Xinjiang et Qinghai
Saison de pointe : de juin à octobre
Corée du Nord
Transmission généralisée présumée
Aucune donnée La proximité avec la Corée du Sud donne à croire que la saison de pointe est de mai à novembre
Saison de pointe : de mai à novembre, particulièrement en Inde du Nord; la saison pourrait être prolongée ou annuelle dans certaines régions, en particulier dans le sud de l’Inde
Indonésie
Transmission généralisée
Toute l’année; saison de pointe variable selon l’île visitée
Japon
Toutes les îles
Juin à octobre
Malaisie
Transmission généralisée
Toute l’année; saison de pointe à Sarawak d’octobre à décembre
Népal
Basses-Terres du Sud (Terai), certains districts dans les collines et les montagnes (la vallée montagneuse de Katmandou)
Saison de pointe de juin à octobre
Pakistan
Aucune donnée
Aucune donnée
Papouasie-Nouvelle-Guinée
Transmission généralisée
Transmission toute l’année présumée
Philippines
Transmission généralisée
Toute l’année; saison de pointe d’avril à août
République démocratique populaire lao
Transmission généralisée
Toute l’année; saison de pointe de juin à septembre
Russie
Kraï du Primorié
De juin à septembre
Singapour
De cas présumément signalés dans les secteurs d’intérêt
Toute l’année
Sri Lanka
Transmission généralisée sauf dans les régions montagneuses
Toute l’année; saison de pointe de novembre à février
Taïwan
Transmission généralisée
Saison de pointe : de mai à octobre
Thaïlande
Transmission généralisée
Toute l’année; saison de pointe de mai à octobre, particulièrement au nord; les taux les plus élevés de maladie sont signalés dans la vallée du Chiang Mai; plusieurs cas ont récemment été signalés chez des voyageurs en visite dans les régions touristiques ou côtières de la Thaïlande du Sud
Timor-Leste
Transmission généralisée présumée
Aucune donnée La proximité avec le Timor occidental donne à croire que la saison dure toute l’année
Vietnam
Transmission généralisée
Toute l’année; saison de pointe de mai à octobre, particulièrement au nord
† Pour décider des vaccins à administrer, on doit examiner les données concernant la destination et les saisons de transmission en fonction de la durée du voyage et des activités prévues.
‡ Les données sont tirées de rapports publiés et non publiés. L’évaluation du risque doit s’effectuer avec prudence, car le risque peut varier à l’intérieur d’une même région et d’année en année, et parce que les données de surveillance concernant les cas chez l’humain et la transmission du virus de l’encéphalite japonaise sont souvent incomplètes. Dans certaines régions où le virus est endémique, les cas chez les résidents humains sont limités en raison de la vaccination ou de l’immunité naturelle chez les personnes âgées. Cependant, parce que le virus de l’encéphalite japonaise se maintient dans un cycle enzootique entre les animaux et les moustiques, les visiteurs susceptibles de contracter le virus qui se rendent dans ces régions pourraient être à risque d’infection.
§ Des éclosions se sont produites dans l’île de Guam (1947-1948) et à Saipan (1990), mais ces pays ne figurent pas dans le présent tableau, car ils ne sont plus considérés comme des régions à risque.
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Mythe : Les voyageurs se font piquer seulement durant la saison des pluies.
Le tableau épidémiologique de l’encéphalite japonaise est double9 :
Dans les régions tempérées, l’encéphalite japonaise peut se transmettre de manière sporadique avec des épidémies saisonnières périodiques (de mai à octobre).
Dans les régions subtropicales, l’encéphalite japonaise est endémique; la transmission peut survenir à tout moment de l’année.
La transmission peut survenir toute l’année9.
Les facteurs environnementaux peuvent également jouer un rôle important dans la transmission des maladies par les moustiques. Ceci est particulièrement vrai en contexte de changement climatique susceptible d’influencer la densité des moustiques15.
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Mythe : L’encéphalite japonaise ne survient que chez les voyageurs qui séjournent durant 30 jours et plus dans les pays où le virus est endémique.
L’encéphalite japonaise symptomatique est survenue chez des voyageurs qui ont séjourné moins de 1 mois dans des régions à risque3.
D’après Hills et al.3 Entre 1973 et 2008, 35 % (n = 55) des cas symptomatiques d’encéphalite japonaise sont survenus lors de séjours de moins de 1 mois†.
† Résultats d’une étude rétrospective évaluant 55 cas publiés d’encéphalite japonaise chez des personnes originaires de pays où la maladie n’est pas endémique ayant visité un pays asiatique ou du Pacifique occidental ou y ayant vécu entre 1973 et 20083.
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Mythe : Le risque de transmission du virus de l’encéphalite japonaise n’existe que dans les régions rurales.
La présence du virus de l’encéphalite japonaise dans des moustiques a été démontrée non seulement dans les régions rurales, mais aussi dans plusieurs villes de l’Asie du Sud-Est15,16.
Les visiteurs qui se rendent dans les endroits où l’encéphalite japonaise est endémique ou épidémique sont à risque plus élevé de contracter une infection au virus de l’encéphalite japonaise comparativement à la population locale1 .
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Mythe : La distribution chronologique et géographique de l’encéphalite japonaise est prévisible.
L’incidence annuelle de l’encéphalite japonaise est imprévisible. Le nombre de cas pourrait varier d’année en année, de saison en saison et de région en région2,9.
Compatibilité prédite du milieu de vie des moustiques du genre Culex dans les zones à risque de transmission de l’encéphalite japonaise14
D’après Longbottom J, et al.( 2017)14.
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Je confirme que je suis un professionnel de la santé canadien
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Déclarer une réaction indésirable pouvant être liée au médicament
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Report a possible adverse drug reaction
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I am a Canadian resident.
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Je réside au Canada.
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